Comment nous allons nous préparer à ICEC 2014 in Milan

 
AICE (Associazione Italiana di Ingegneria Economica)  est né en 1978. Bien que je n’aie pas été parmi les fondateurs, j’ai rejoint l’Association pendant sa première année de vie : j’en étais alors peut-être le plus jeune partenaire, maintenant j’en suis le Président et j’ai commencé à penser à qui pourrait être mon successeur. En effet, le problème de AICE, comme d’autres associations dans ICEC, est de comprendre si quelque chose de ce que nous avons bâti puisse être laissée à ceux qui verront après nous, ou si toute chose soit destinée à finir avec nous.
Comme tout le monde la sait, en 2014 AICE organisera à Milan le Congrès mondial d’ICEC. Ce sera le moment opportun pour répondre à quelques questions : quel sera l’avenir d’ICEC de 2014 à partir? Pourquoi ICEC est différent d’IPMA e PMI? Pourquoi la « région 2 » est différente d’autres régions d’ICEC?
Quelles sont les particularités ICEC ? L’attention à la maîtrise du projet (project controls) plutôt qu’à sa gestion (project management), l’analyse des coûts pendant l’entier cycle de vie, on peut y joindre les contrôle du coût de gestion dans les partenariats public-privé et les contrôles de projet de travaux publics. Il faudrait faire de ces particularités la force d’ICEC
Il faudrait aussi définir et mettre à jour le corps commun de connaissances et des compétences des associations d’ICEC, ainsi que étendre le corps de compétence pour les coûts de cycle de vie, la gestion des coûts chez PPP et les autres points que encore doivent être définis.
Fondamentalement, c’est à dire tout d’abord que nous devons souligner les différences entre la gestion de projet et les contrôles de projet, qui sont très clair dans les pays de langue anglaises, mais beaucoup moins distinctes dans les pays de l’Europe continentale. Dans le même temps, on doit mieux définir les différences entre la certification d’ICEC et celles d’IPMA et PMI. À notre avis,
  • le premier point fort de la certification d’ICEC est l’accent mis sur les contrôles au lieu de mettre l’accent sur la gestion et,
  • le deuxième point fort est l’attention accordée aux coûts de cycle de vie au lieu de se limiter aux frais de construction.
Nous suggérons de commencer la construction d’un troisième point fort, que doit être discuté et défini entre toutes les associations membres. Comme nous avons déjà dit, en Europe il y a une importance croissante du partenariat public-privé qui, sous plusieurs aspects, devient un aspect clé de la gouvernance dans les prochaines années. Comme les choses sont maintenant, la gestion des coûts de ce partenariat est ni standardisée ni complètement définie, et nous croyons qu’il y a une large place pour les associations d’ICEC à travailler. Ce point, cependant, doit être de primordiale importance pour une association européenne tout en pourrait être moins sensible pour les associations dans une autre partie du monde.
Gianluca di Castri – 30/11/2010
Président d’AICE – Milano

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